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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 08:51
les limites comme espace de liberté,
quand on est petit, on est confronté aux "limites" que les adultes veulent nous inculquer.
Qu'en faire ?

aditions de limites

soustractions de limites






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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 06:05
non seulement ça rend con, mais en plus ça rend désagréable à vivre.
Oublié le respect de l'autre. Pourtant on avait très bien avancé sur ce domaine avec les echanges dans la fratrie.
Terminé les jeux inventés pour le petit frère, terminé les livres lus (de mémoire) pour lui, toutes les adaptations pour se mettre à son niveau.
bonjour la guerre pour un gateau pourtant identique, non c'est le mien !
Bienvenues les vacances !
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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 05:55
voilà pour résumer ce qui découle de la scolarisation : devenir ultra-sensible à la contrainte et se battre, résister même pour ce qui n'était habituellement pas un problème.
Devenir à ce point méfiant de la vigueur d'autrui à nous contraindre me laisse perplexe : moi aussi je suis (devennue ?) comme ça. Pourtant en repenssant au mois d'aout, délicieux mois d'aout plein de bonne entente, je me souviens comme les contraintes étaient acceptées, rares et semblaient ne pas ébranler la réserve de patience et de bien etre de ma fille.

Combattre ce qui me force, juste parce que ça me force et non parce que ça m'embete...c'est se battre plus souvent que nécessaire.
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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 05:52
Après la crèche et la halte garderie, je suis quand même contente de cette nouvelle école...mais qu'est ce que ça rend con l'école !
Et moins sociable aussi.
Moins enclins aux echanges, plus aux combats.
Les enseignements ne se font pas dans le combat.
Je guete.
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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 05:41
Quand l'école nous oblige à nous soumettre aux apparences de la normalité, on s'enfuit !
Pourquoi l'école ne s'attache t'elle pas à une norme de bonheur et de santé ?
La norme est la limite au delà de laquelle il y a un effort à faire pour retourner dans la zone souhaité ? Non  c'est la LIMITE à ne pas franchir ! Le rouleau compresseur ne laissera pas une miette de coté, au détriment de la sensation de soi, complètement perdue. La dispersion résulte de cette destruction de l'individu. Les apparences satisfont des observateurs sans valeurs, anéantis.
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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 15:51


J'adore, je ne sais pas qui est Luc Donat....
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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 23:34
en charette
Voici donc les dernières nouvelle de Mme Boda, qui va attraper des cuisses comme des jambons à force de tirer quelques 40 kg....pour emmener la miss à l'école. (25 kg à eux deux quand meme) Je crois que ça va vite devenir facile, comme de les porter tous les deux dans les bras. Je l'ai fais encore cette semaine dans les escalier, et c'est plus facile que lorsqu'ils faisaient  10 kg de moins il y a bien longtemps.....
C'est dur, mais c'était ça ou aller à l'école de la directrice qui frappe les élèves.

Elle y a déjà une copine qui pleure parce que "elle aussi, elle veut pas aller à l'école mais son p. ses parents l'obligent"
Elle est fière de ses propres aprentissages hors école. elle aimerait faire comme ses amis qui eux n'y vont pas. Ca me blesse de savoir que cette fierté sera troquée pour le sentiment d'incapacité qu'on retire de notre confrontation aux MAITRES et aux NOTES. D'ailleurs, ça me scie, mais la plupart des enseignants s'obligent à établir leur moyenne de classe à 10. D'office, la moitier de la classe est mauvaise, même si c'est faux.
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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 23:27

c'est incroyable, il est haut comme une paquerette et il a déjà fait des petits : un ami qui l'a vu dans ma cuisine a été assez frappé pour en planter dans le désert. Ca me fait plaisir ! Et du coup je me demande si des baobabs de Paris n'aurraient pas quelques chances de trouver des aprentis jardinier  pour en prendre soin.
Dis, Delphine, tu auras une place pour un ou deux baobabs lors de ton prochain voyage ?


Celui là était albinos : pas de chlorophylle, donc pas de survie possible. J'avais essayé de le gréffer sur un qui en avait comme on le fait pour des cactus par exemple. Mais ça n'a pas pris. Sa graine avait déjà une translucidité étrange, je me doutais qu'il serait différent des autres. Je l'"attendais" avec encore plus d'impatience et de soin.

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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 23:21
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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 08:07

 
Je crois qu'on risque plutot de tomber dans l'autoritarisme.

Il y a partout des discours sur les enfants rois.
Le plus courrant est l'exemple de l'enfant a la maison qui peut faire ce qu'il veut.
La maison est justement l'endroit où nous sommes obligés de fixer beaucoup d'interdits. Rien que dans la cuisine, ne pas sortir seul, ne pas peindre les murs...
Les meres seules sont supposé être les plus laxistes, victimes de leur rapprochement sentimental envers leur enfant....comment peut on imaginer qu'une mere peut laisser son enfant faire ce qu'il veut? c'est impossible ! quand je vois l'état de ma maison apres une heure de liberté juste pour avoir osé faire mes papiers, je me dis que laisser ses enfants libres sans contraintes est un pur délire de gens qui ne se sont jamais occupés d'enfants. Qui imaginent tout simplement une cause à la difficulté de faire rentrés les petits dans un moule étriqué, une cause qui ne met aucunes de leur valeurs en cause, bien sûr.
leur amenager un lieu leur laissant de l'autonomie. accompagner cet autonomie en fonction de leur age, capacité, désir de progresser du moment est un travail enorme que je ne PEUX pas faire autant que je le souhaite. Et quand ça na va pas comme je le veux, j'ordonne, je crie hélas. Alors qu'avec un peu plus de patience, j'aurrais encore expliqué, accompagné et tout serrait rentré dans l'ordre, avec des retombées éducatives positives pour les prochaines fois en prime.
Alors que l'autoritarisme ne donne qu'un climat de stress. Les cris, la peur fige un instant, elle pertube au lieu d'éduquer. Le parent devient un obstacle à la compréhention du monde et l'enfant perd de son soutien si nécessaire.

J'ai lu plusieurs textes des écoles du quartier qui parlent de la transition de l'éleve entre sa maison où il ignore contrainte, vie sociale, nouveauté et la vie à l'école qui lui fait découvrir les règles de vie en société, l'absence de sa mère, la collectivité et le sortirait pour la première fois des ses habitudes familliales.

J'ai carrément bondi : moins de 1 % des enfants rentrés en maternelle ont été gardé par leur famille. Comment peut on donc en faire une généralité ? Et parmis tous ces enfants, combien ont la chance de ne pas etre éduqué dans l'autoritarisme ? Et les autres ont ils seulement la possibilité materielle d'etre des tyrans ?
Il me parrait plus probable que les locaux et les rythmes de l'école, le peu d'adulte sur le dos de chaque enfant, lui offre plus de liberté qu'il n'en a jamais eu avec sa famille.

Quand à la collectivité, je la comprend enfin : elle s'oppose à la supposée vie d'hermite de l'enfant et sa mère, qui bien sûr est coupée du reste de la famille, de la société ! Comme si cet enfant n'avait pas de frères ou soeur, de cousins, de grands-parents, de voisins. Comme si ses parents ne l'emmenait pas faire des courses, à des sorties, des musées, à la piscine, ne recevaient pas de visites, ne visitaient pas eux-même et en plus ne partaient pas en vacances.
Et l'école à deux ans permet d'enrichir son vocabulaire car c'est en écoutant un adulte parler qu'on apprend. C'est donc que hors de l'école l'enfant est à la maison à regarder sa mère qui repasse ou cuisine en silence ?
Et encore plus pour l'enfant de la mère seule, qui dans l'imaginaire serrait encore plus coupé du monde  et l'emmene faire toutes ses courses, alimentaires, administratives, médicales...et l'emmene aussi voir les amies, la famille...et quand il est gardé, c'est peut-etre par des membres extérieur à sa famille ou un père vivant ailleurs, donc encore plus habitué à la diversité et aux règles de vie des différents lieux qu'il fréquente.

Comment l'école peut se tromper à ce point sur la vie quotidienne d'un enfant avant sa scolarisation ?

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